La longue lutte des victimes du « Picasso des églises »

Six ans après l’affaire Preynat, le diocèse de Lyon doit affronter à nouveau une vague de témoignages de victimes accusant l’Église d’avoir fermé les yeux pendant des années face à des actes de pédocriminalité. Cette fois-ci, l’accusé s’appelle Louis Ribes, surnommé «  le Picasso des églises  ». De son ordination en 1947 à sa mort en 1994, il a exercé au sein des diocèses de Lyon, Grenoble et Saint-Étienne. Tantôt enseignant d’art dans les séminaires, tantôt artiste, il a côtoyé de nombreux enfants au cours de sa vie. Une enquête d’Honorine Soto.

PHOTO 1b

Photographies d’époque de Luc Gemet lors des « séances » chez Louis Ribes © Boris Heim/Club de la presse de Lyon

L'Arrière-Cour est un média indépendant qui ne dépend que de ses abonnés.

Je m'abonne
Abonnez-vous à l'Arrière-Cour au tarif de votre choix
8€ /mois Formule conseillée
  • Résiliable à tout moment
  • Des enquêtes sur l'extrème-droite soutenues par le fond pour la presse libre
  • Des entretiens exclusifs avec les élus politiques de tous bords
  • Des clés de lecture sur les dernières évolutions de la politique locale

Plus de L'Arrière-Cour ?

Abonnez-vous à la newsletter gratuite pour suivre les dernières nouvelles