Le tennis de table, l’art et les sciences du rebond

Vincent Dolique

Illustration : Guillaume Long 

Des scientifiques lyonnais ont eux aussi préparé les Jeux olympiques, en mettant leurs compétences au service des sportifs français pour les aider à atteindre leurs objectifs. Pendant toute la période des JO, le physicien Vincent Dolique, du laboratoire de physique de l’ENS de Lyon, lance une nouvelle rubrique dans L’Arrière-Cour afin de décrypter ces liens peu connus entre recherche scientifique et performance sportive.

Les Jeux olympiques et paralympiques (JOP) de Paris débutent demain. De nombreux athlètes tenteront de remporter une médaille, certains vont battre leur record personnel, d’autres des records olympiques ou mondiaux. Mais derrière ces médailles et ces records se cache beaucoup de travail réalisé par l’athlète avec l’aide d’une équipe, d’un club et d’une fédération. Le matériel et les méthodes d’entraînement utilisées quotidiennement par les athlètes leur sont essentiels pour atteindre les performances souhaitées. Les sciences du sport permettent d’améliorer et de développer de nouvelles méthodes d’entraînement, comme le suivi de la charge de travail ; elles autorisent aussi la création de nouveaux matériels, tels que les capteurs de force dans les pédales de vélo et les montres connectées. Ingénieur de recherche au CNRS et spécialiste de la physique des matériaux et des sciences du sport, je vais vous raconter, dans ce premier article, quelles sciences se cachent derrière le tennis de table.

Ces labos lyonnais passionnés de tennis de table

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