Je me souviens

« Je me souviens : j’étais au-dessus du tunnel pour regarder au loin : les routes, le Rhône, les bâtiments et les toitures rouges. »

Alors qu’il ne reste plus que quelques jours pour finaliser le financement de la revue Chabe n°2 (lien ci-dessous, on compte sur vous ! :), L’Arrière-Cour publie un sujet paru dans Chabe n°1. Pour comprendre le regard de l’autre sur soi, Peichen Chi propose de se laisser embarquer dans une série intimiste à la croisée des cultures. Avec notre journaliste Maxence Depienne, l’artiste photographe taïwanaise revient sur son travail, autour des différences – ou des points communs – qui existent entre les pensées et modes de vie orientaux et occidentaux. 

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En 2016, je lance un projet de grande ampleur intitulé Les souvenirs, au fil de mes allers et retours entre l’Europe et Taïwan. J’y observe la vie quotidienne, les habitants, les architectures, la nourriture et la culture pour me plonger dans les domaines de la poésie et du choc, de la scène et des souvenirs qui se chevauchent.

En 2017, je m’installe en France et j’explore pour la première fois en profondeur une culture autre que la mienne, et ce, par le prisme de la photographie. L’idée est de trouver une manière d’immortaliser ces lieux et de raconter une histoire de mémoire, en photographiant continuellement, en créant des souvenirs, et en passant le temps jusqu’à oublier ces souvenirs. C’est de cette démarche résolument naïve et déductive que la série Je me souviens, où Lyon est mis en lumière, voit le jour et se développe en même temps que ma perception de la ville.

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