C’est le sujet qui a provoqué la rupture entre Gérard Collomb et David Kimelfeld. Quand son successeur à la tête de la métropole a pris en main le dossier des mineurs isolés, le ministre de l’Intérieur y a vu une contestation de sa propre politique en matière d’immigration et le lui a vertement fait savoir. « Je suis président de la métropole, j’assume mes choix et je n’en changerai pas » lui a répondu David Kimelfeld. Naturellement, le sujet resurgit dans la campagne. Et pourrait faciliter le rapprochement des différentes listes de gauche au 2e tour.
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